Pages d'écriture / 1998-99 / La prose du transsibérien, de Cendrars / Texte de Fabrice
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L'impression de chaleur en entrant dans le bus qui emmène les élèves au collège

Une voiture en face en pleins phares, qui éblouit comme un spot sur une scène, illuminant un acteur en train de jouer

L'impression de liberté en regardant par la fenêtre, en voyant une forêt sombre à cinq cent mètres de la route

La sensation de liberté quand le soleil se lève derrière les lotissements, avec ses rayons qui ont l'air de nous appeler

La sensation d'être seul quand on entend les autres rire et qu'on ne rigole pas

Un chien très bien dressé, suivi de sa maîtresse, l'attend sur la route, comme si c'était un enfant attendant sa mère, et qui ne peut traverser la route, trop dangereuse pour lui

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