Pages d'écriture / 1998-99 / Les Géorgiques, de Claude Simon / Texte de Davy
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Il pleure de tristesse et de haine contre les Allemands qui détruisent son pays et habitat. Il roule avec son vélo dont il a remplacé les roues par des chiffons, qu'il a trouvés. Il a dix ans, caché dans une ferme, pendant la guerre. Il entend les tirs des Allemands. Il fait des pièges à lapins pour se nourrir. Il a peur de sortir. Il voit des Allemands en parachute atterrir dans le champ voisin. Il tombe nez à nez avec un Allemand hébergé par ses parents qui leur offrent de la nourriture. Un tir ; des tuiles tombent du toit. Il se cache où il peut. Ils couchent à plusieurs, entassés, se tenant chaud dans une seule salle. Les autres salles sont détruites. Il a peur mais l'Allemand se montre gentil  il le craint quand même.

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