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| Le lieu utile pour toutes les occasions.. dormir, écouter de la musique, regarder la télévision, et même travailler (et d'autre choses).
Bien sûr, les meubles et la décoration sont les éléments les plus importants pour se sentir complètement chez soi. L'objet principal et indispensable est le lit, table de nuit pour les magazines, la lampe, etc. Ensuite, chacun fait son choix : dans ma chambre j'ai 2 étagères, une pour mes livres et cahiers d'école des années précédentes (je suis un élève sérieux), une autre pour ma chaîne hi-fi, avec mes CD, discman, écouteurs, et bien sur mes bouteilles d'alcool, 1 bouteille vide pour chaque fois que je suis sorti. Les baffles de ma chaîne sont accrochées dans les 4 coins. Un bureau en face de la fenêtre, avec une chaise pour les rares fois que je veux y travailler, et des placards plein à craquer (qui expliquent le bordel dans ma chambre). A côté de mon lit, un muscuvélo (que je n'utilise pas, mais qui me sert bien pour mon radio-réveil, et d'autres machins), et une guitare. Il y à des fils électriques qui passent partout dans ma chambre, sur le sol, mon bureau, jusque sur les murs (il en faut bien pour mes baffles). Des posters couvrent les 3 murs, pubs de voitures, d'alcools, ou simples posters de cannabis. Enfin, l'outil le plus important, mon LIT. Je m'y installe dès que je vais dans ma chambre. J'y dors, je m'y met pour écouter de la musique, et j'y suis même pour travailler.
Par la fenêtre, je vois d'abord quelques branches des arbres plantés en contrebas, devant le mur, qui cachent en partie la rue dans laquelle ne passent pas souvent des voitures, donc pas trop de bruits de moteur dans la journée, sauf les hélicoptères. Contrairement, pendant la nuit, je peux entendre tous les bruits, mes murs n'isolant presque pas. Ma climatisation, la télévision, des voitures qui se sont sans doute trompées de route, et les générateurs quand il n'y a pas d'électricité. Mes rideaux laissent passer une grande partie de la lumière, donc pendant la nuit, à chaque fois qu'une voiture tourne au coin de la rue les ombres des branches devant ma fenêtre sont projetées sur mon plafond. Même si je les ferme, la lumière du soleil le matin passe au travers : pas assez pour m'éblouir, mais juste assez pour me réveiller.
Christophe J.
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